Les professionnels constatent un désintérêt du public à l’approche du 1er novembre excepté peut-être, aux abords des cimetières…
Les traditions se perdent un peu partout. Et les fleuristes n’échappent pas à cette tendance. « Ce sont les clients qui nous manquent aujourd’hui. Depuis vendredi, on constate un certain ralentissement dans les affaires », observe Monique Cassar, présidente de la chambre syndicale de l’Union patronale des artisans fleuristes (Upaf), entre deux demandes de clients.Après l’épisode du confinement et son passage momentané en service « non essentiel », après la multiplication du « click and collect », la profession semble avoir remonté lentement la pente. »Si des commerces ont fermé, c’est souvent au moment où les gérants ont pris la retraite, estime Monique Cassar. On a retrouvé des comportements d’achats normaliséscette année ». Avec notamment de